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“Si telle est la responsabilité de l’homme à l’égard de la femme, il n’est pas avantageux de se marier”.

(Matthieu 19:10)

 

Y a-t-il plus d’avantages à cohabiter qu’à se marier?

 

a. La santé

i. dépression

 

Le livre de Morgan, Marriage-Lite, publié par The Institute for the Study of Civil Society, un organisme de charité de l’Angleterre qui dirige des études sur la santé, le bien-être, l’éducation et la famille, note dans une recherche faite dans 19 pays que les couples qui cohabitent sont plus sujet à la dépression que les couples mariés; ils sont moins heureux et accomplis que les couples mariés parce qu’ils manquent de stabilité. Aux États-Unis une personne qui cohabite risque 3 fois plus d’être déprimée qu’une personne mariée.

 

ii. MTS

La cohabitation apporte un plus grand risque de maladies transmissible sexuellement, parce que les hommes qui cohabitent sont 4 x plus infidèles que les maris.(É.U.) (2007 edition of the New Oxford Review, Dr. A. Patrick Schneider II, who holds boards in family and geriatric medicine and runs a private practice in Lexington, Kentucky, did a statistical analysis of cohabitation in America, based on the findings of a number of academic resources)

En Angleterre, seulement 43% des hommes en union libre disent être fidèles à leur partenaire, comparativement à 90% pour les hommes mariés.

Aux États-Unis, 20 % des femmes en cohabitation avouent être infidèles comparativement à 4% pour les femmes mariées.

 

iii. Durée de vie

Les couples mariés tendent à vivre plus longtemps, en meilleure santé. Une étude aurait même calculé que les bénéfices sont pour l’homme l’équivalent de renoncer à fumer un paquet de cigarettes par jour.

 

b. L’épanouissement sexuel

Linda Waite and Maggie Gallagher, dans le livre The Case for Marriage cite une recherche indiquant que les couples mariés ont des relations sexuelles plus satisfaisantes que les couples qui cohabitent.

 

c. Violence

 i. Une analyse sur la violence familiale faite par Statistiques Canada rendue publique en avril 1998 révélait que les femmes en union libre avaient 8 fois plus de risque d’être tuées par leur conjoint, comparativement aux femmes mariées légalement. Pour les hommes, le risque était 4 fois supérieur.

ii. selon une agence du Département de la Santé des États-Unis (1994.) le statut marital est le facteur prédominant pour prédire la violence, avant les facteurs de race, d’âge, d’éducation ou de conditions de logement

 

d. Stabilité

i. Statistiques Canada, dans Le Quotidien de Juin 1998, affirme que les unions libres constituent pour les enfants un environnement familial moins stable que les mariages. Le taux de séparation pour les couples en union libre est beaucoup plus élevé que pour les couples mariés. (Nous y reviendrons, lorsque nous parlerons des enfants de ces couples)

ii. C'est un fait, confirmé par les statistiques : les cohabitations sont plus fragiles que les mariages. Pas seulement au Québec.

(1) Suède: 2x plus de dissolution que pour les mariés

(2) Norvège: nettement plus de ruptures.

(3) 3 ménages sur 4 en Suède et Norvège n’atteignent pas 5 ans de vie commune.

(4) France: deux enquêtes différentes indiquent que les couples concubins, sur dix ans, sont six fois plus précaires que les couples mariés. Avec la venue d'un ou plusieurs enfants, ils le sont encore deux fois plus (2).

(5) Aux É-U 1 couple sur 6 vivra ensemble seulement pour 3 ans, 1 sur 10 survivra 5 ans ou plus (In a 2007 edition of the New Oxford Review, Dr. A. Patrick Schneider II)

(6) En Angleterre, 2006, les séparations étaient de 20% chez les couples non-mariés et de 6% chez les couples mariés.

« On ne se marie plus pour éviter les divorces, mais en ne se mariant pas on augmente les séparations. »

 

f. Situation financière

 

Aux É.U, le % de pauvreté est plus élevé chez ceux qui cohabitent. Ceux qui partagent une maison mais ne se marient jamais ont 78% moins de richesses qui ceux qui demeurent mariés Le taux de pauvreté des enfants de couples qui cohabitent est 5X plus grand que pour les enfants de couples mariés.

(É.U.) (2007 edition of the New Oxford Review, Dr. A. Patrick Schneider II, who holds boards in family and geriatric medicine and runs a private practice in Lexington, Kentucky, did a statistical analysis of cohabitation in America, based on the findings of a number of academic resources).

 

CONCLUSIONS:

Le mariage, c’est bon pour les adultes, pour les enfants et pour toute la société!

Le mariage “prolonge la vie, améliore de façon significative la santé physique et mentale, en plus de procurer des revenus supérieurs à ceux des gens célibataires, divorcés ou qui vivent ensemble” affirme la Dr Linda Waite, professeur de sociologie, de l’université de Chicago.

« La Cohabitation est mauvaise pour les hommes, pire pour les femmes et horrible pour les enfants ».

En septembre 2000, une étude faite par un groupe parlementaire de Londres appelé Family Matters a évalué à 30 milliards de livres par année le coût de l’effondrement du tissu familial; l’étude conclut, selon le Telegraph, que “cela affecte la santé de la nation, réduit le rendement scolaire des enfants, augmente la criminalité, met un fardeau sur l’économie nationale et une tension sur les relations sociales à tout niveau”

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